Tu sais, vivre dans un monde où tout le monde a une opinion sur ce que tu devrais faire, où chaque décision semble passer sous les projecteurs des jugements d’autrui, c’est épuisant. C’est comme courir un marathon en portant une armure en plomb. Et si je te disais qu’il existe une voie simple, directe, et incroyablement libératrice qui te permettrait d’enlever cette armure, de lâcher prise, et de vraiment vivre pour toi-même ?
C’est ça, s’en foutre. Ce n’est pas de l’égoïsme, ce n’est pas de la négligence envers les autres. C’est un acte de pure liberté. S’en foutre, c’est enfin décider que ta vie, ton bonheur, tes choix, et ta direction importent bien plus que ce que les autres en pensent. Tu te demandes peut-être : « Mais comment faire ça, sans devenir un monstre déconnecté de la réalité ? » Eh bien, laisse-moi te dire ceci : il y a une énorme différence entre « s’en foutre » et « ne pas donner de valeur à ce qui est important ».
La vraie question à se poser, c’est : Pourquoi continuer à vivre pour les autres alors qu’il est possible de vivre pour soi ?
S’en foutre, c’est prendre le contrôle de sa vie
Tu crois peut-être que s’en foutre, c’est juste lâcher prise de tout. « Je n’en ai rien à foutre », tu t’es dit. Mais attends… ce n’est pas ça. Ce n’est pas le laisser-aller qui est en jeu. C’est une décision active. C’est choisir de t’affranchir des attentes externes et des croyances imposées. C’est comme se débarrasser d’une vieille paire de baskets usées qui te freine dans ta course. Les vieilles habitudes de plaire à tout le monde, de répondre aux attentes sociales, ce ne sont que des boulets qui t’empêchent de vivre pleinement.
Imagine un instant que tu arrêtes de courir après ce qu’on attend de toi. Imagine que tu t’en foutes tellement que tu te mets enfin à vivre selon tes propres valeurs, à écouter ton intuition. Tu t’autorises à faire ce qui te rend heureux, et non ce que les autres veulent que tu fasses. Ce n’est pas un abandon, c’est une libération.
L’avantage immédiat : vivre plus léger
L’avantage ? C’est comme si tu laissais tomber des sacs de sable invisibles que tu traînais derrière toi depuis des années. Tu n’as même pas conscience de la charge que tu portes, mais une fois que tu t’en fous de ce que les autres attendent, tu vas te sentir instantanément plus léger, plus libre.
Un exemple simple : tu as toujours voulu te mettre à la peinture mais tu n’as jamais osé, parce que « ce n’est pas vraiment utile », ou « les gens vont penser que je perds mon temps ». Laisse tomber ce jugement. Si tu te fous de ce qu’on pense, tu vas enfin pouvoir plonger dans cette passion sans la moindre hésitation. Et devine quoi ? Tu ne le fais même pas pour montrer quoi que ce soit à quiconque. Tu le fais juste pour toi. Pas pour la gloire, pas pour les likes, juste pour le plaisir d’être toi-même.
L’erreur à éviter : l’illusion de la perfection
Évidemment, il y a un piège : s’en foutre ne signifie pas vivre sans aucune conscience de soi. Ce n’est pas un prétexte pour devenir irresponsable ou inconsidéré. Si tu t’en fous de ce que les gens pensent, ce n’est pas une excuse pour être un connard. Ce n’est pas « s’en foutre » des autres au point de leur faire du mal. Non, il s’agit plutôt de se libérer des attentes irréalistes et de s’éloigner de cette obsession de plaire à tout prix.
Et c’est là que tu vas ressentir la différence : tu seras plus présent, plus concentré sur ce qui compte vraiment, et plus apte à apprécier les petites victoires quotidiennes. Parce que tu vas enfin comprendre que tu n’as pas à tout faire « comme il faut » ou « comme les autres ». Tu peux enfin être authentique.
Le résultat final : vivre selon TES propres règles
Là où ça devient magique, c’est que plus tu t’en fous des attentes extérieures, plus tu commences à vivre de manière alignée avec ce que tu veux réellement. Et cela, c’est un jeu d’une toute autre dimension. Quand tu choisis de vivre pour toi-même, tu accèdes à une toute nouvelle forme de paix intérieure, où les opinions extérieures n’ont plus de pouvoir sur toi. Parce que tu sais ce qui est important pour toi.
Alors, je vais te laisser avec une idée : s’en foutre, c’est peut-être la clé pour enfin t’autoriser à devenir la personne que tu es censé être. Imagine tout ce que tu pourrais accomplir si tu te libérais des chaînes invisibles de l’approbation sociale. Si tu arrêtais de t’en soucier et que tu agissais en fonction de ta propre vision.
C’est exactement ce que je veux pour toi. C’est exactement ce que tu mérites. Alors, s’en foutre, c’est prendre le contrôle. C’est être toi. C’est enfin vivre pour toi, et non pour ceux qui ne savent même pas ce que tu ressens.
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Merci pour ta lecture.
Guido SAVERIO.