Sérieusement, combien de fois avez-vous regardé quelqu’un d’autre et pensé : « Pourquoi lui et pas moi ? » On le fait tous. On scrolle sur Instagram, on voit des corps parfaits, des réussites éclatantes, des couples amoureux qui semblent sortis d’une comédie romantique. Et nous, là, assis en jogging troué, avec un bol de céréales et une liste de choses à faire qui ne se coche jamais.
Le piège des idéaux
Le problème, c’est qu’on se compare à des illusions. Les autres ne montrent que leurs moments de gloire, jamais leurs galères. Vous voyez l’entrepreneur millionnaire, mais pas ses années de doute, ses dettes, ses insomnies. Vous voyez l’influenceuse en voyage, pas ses crises d’angoisse ni son compte en banque au bord du gouffre. À force de vous comparer à ces images filtrées, vous vous persuadez que vous êtes en retard, que vous avez échoué. Alors qu’en réalité, vous êtes juste en train de vivre… une vraie vie.
Les échecs ne sont pas des arrêts, mais des détours
Chaque échec est une leçon déguisée. Vous avez raté un projet ? Parfait. Maintenant, vous savez ce qui ne fonctionne pas. Vous avez perdu un job ? Génial. Une occasion de redéfinir ce qui vous fait vraiment vibrer. L’échec, ce n’est pas une fin, c’est un panneau « Route barrée, prenez à droite ».
Steve Jobs s’est fait virer d’Apple. Oprah a été licenciée de son premier job à la télé. Michael Jordan a été recalé de son équipe de basket au lycée. Et vous, vous croyez que votre dernier faux pas signifie que tout est foutu ? Non. C’est juste une étape sur le chemin.
Vivez votre propre histoire
Le seul adversaire à battre, c’est vous-même. Améliorez-vous un peu chaque jour. Fixez-vous des objectifs qui vous inspirent. Apprenez à savourer vos petites victoires : avoir osé dire non, avoir tenu un engagement, avoir appris quelque chose de nouveau. Ça, c’est la vraie réussite.
Arrêtez de courir après des idéaux fabriqués. Faites face à vos échecs, transformez-les en tremplins, et surtout, avancez à votre rythme. La vie n’est pas une compétition, c’est une aventure.
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Guido SAVERIO