La vérité, c’est que la vie ne fait pas de cadeaux. Elle te balance des coups sans prévenir, elle te teste, elle t’épuise, et si tu baisses la garde ne serait-ce qu’une seconde, elle t’assomme. Tu as deux options : soit tu restes au sol à pleurnicher sur ton sort, soit tu te relèves et tu te bats. Mais attention, se battre pour sa vie ne signifie pas seulement survivre. Ça veut dire prendre les rênes, décider que chaque putain de journée vaut la peine d’être vécue à fond, et refuser d’être un figurant dans ton propre film.
La vie n’attend pas, pourquoi tu hésites ?
On se raconte tous des histoires. « Je commencerai lundi », « Quand j’aurai plus d’argent », « Quand j’aurai plus de temps ». Devine quoi ? Ce fameux « plus tard » n’existe pas. Chaque seconde que tu passes à attendre est une seconde où la vie t’avance un uppercut bien placé. Pendant que tu réfléchis, d’autres avancent. Pendant que tu doutes, d’autres gagnent. Et si tu crois que la chance va te tomber dessus par magie, laisse-moi rire. La seule magie qui existe, c’est celle que tu crées en te bougeant.
Exemple concret : le mec qui voulait « juste être en forme »
Prenons Marc. Marc voulait perdre du poids depuis des années. Mais il trouvait toujours une excuse. Trop de boulot, trop fatigué, trop compliqué. Un jour, il a compris qu’il n’y aurait jamais de moment idéal. Il a pris ses baskets, couru 10 minutes. Le lendemain, 15. Trois mois plus tard, il avait perdu 8 kilos et se sentait comme une machine de guerre. Moralité : commence petit, mais commence maintenant.
Se battre, c’est choisir la difficulté qui en vaut la peine
On ne va pas se mentir, tout est difficile. Être pauvre, c’est difficile. Travailler pour réussir, c’est difficile. Être en surpoids, c’est difficile. Se remettre en forme, c’est difficile. Tu ne peux pas éviter la difficulté, mais tu peux choisir laquelle t’apportera quelque chose. La douleur de l’échec ou celle de ne jamais avoir essayé ?
Exemple concret : l’entrepreneur qui en avait marre de son job
Sophie détestait son boulot. Mais elle avait peur de quitter son poste « stable » pour se lancer en freelance. Un jour, elle s’est demandé : « Est-ce que je préfère souffrir à cause d’un patron que je déteste ou souffrir en construisant ma propre réussite ? » Elle a choisi la deuxième option. Un an plus tard, elle gagnait plus en bossant moins.
Ton futur, c’est toi qui l’écris
Imagine-toi dans 10 ans. Si tu continues comme aujourd’hui, est-ce que tu seras fier de toi ? Est-ce que tu te remercieras d’avoir pris action ? Ou est-ce que tu regretteras toutes ces fois où tu as baissé les bras ? Chaque choix que tu fais aujourd’hui est une brique de la maison que tu construiras demain. Alors, arrête d’attendre l’autorisation de je-ne-sais-qui, et fonce.
La claque finale : tu as déjà ce qu’il faut
Tu n’as pas besoin d’un miracle, d’un coup de pouce divin ou d’un ticket gagnant de loterie. Tout ce dont tu as besoin est déjà en toi : la capacité de te lever et de dire « Ça suffit ». Oui, ça demande du courage. Oui, ça fait peur. Mais entre nous, rester coincé dans une vie médiocre, c’est encore plus terrifiant, non ?
Alors, qu’est-ce que tu choisis ? Te battre pour ta vie ou laisser la vie te mettre KO ?
Guido SAVERIO
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