Le destin n’est pas écrit, mais il a une bonne plume.

Tu sais ce qu’on te dit depuis toujours, non ? Que le destin, c’est comme un livre déjà écrit. Qu’on ne peut pas vraiment échapper aux grandes lignes de ce qui nous est destiné. Eh bien, désolé de te l’annoncer, mais cette idée, c’est du pipeau. Parce que le destin, il n’est pas écrit. Mais il a une bonne plume. Et devine quoi ? C’est toi qui tiens cette plume.

C’est comme ça que tout commence. On vit dans un monde où on se raconte tous des histoires sur ce qui doit nous arriver. On attend de savoir ce qu’on va devenir, ce qui va se passer, comme si c’était écrit quelque part sur un parchemin invisible. Mais voilà le truc : le destin, c’est pas quelque chose qui nous tombe dessus comme un coup de foudre. Non, le destin, c’est ce que tu écris chaque jour avec les choix que tu fais.

Et ça, ça change tout.

Si tu crois que ton avenir est un film où tu n’es qu’un spectateur passif, laisse-moi te dire que tu te trompes. Le film, c’est toi qui l’écris. Tu tiens la caméra. Tu choisis les scènes. Tu choisis même la fin. Alors si tu veux un film de super-héros avec des aventures de folie, c’est toi qui écris l’histoire. Si tu veux un truc où tu restes dans le canapé à regarder passer les trains de ta vie, eh bien… tu choisis aussi ça. Mais c’est pas la faute du destin. C’est la tienne.

Le pouvoir des petites actions

L’un des plus grands mensonges qu’on nous a fait croire, c’est que tout doit être spectaculaire pour changer le cours de notre vie. Que tout doit être un big bang. Que tout doit exploser pour qu’on puisse se sentir en contrôle. Mais tu sais quoi ? Le secret, c’est dans les petites actions quotidiennes. Oui, celles qui te paraissent insignifiantes. Oui, celles que tu repoussais hier et que tu repousses encore aujourd’hui.

Imaginons ça : chaque fois que tu choisis de faire quelque chose de difficile, tu écris un mot dans ton histoire. Chaque fois que tu refuses de laisser une excuse prendre le dessus, tu écris une phrase. Chaque fois que tu te lèves et que tu donnes le meilleur de toi-même, tu écris un paragraphe. Et ces petits choix s’accumulent. Et à un moment donné, tu regardes en arrière et tu vois une vie qui ressemble à ce que tu as toujours voulu. Pas magique. Juste le résultat de petites actions répétées.

Le rêve n’est pas un mirage

Oublie les histoires à la noix qu’on te raconte sur les rêves inaccessibles. Ce n’est pas parce que tu as un rêve qu’il faut attendre que la chance frappe à ta porte. Si tu veux quelque chose, tu vas devoir l’aller chercher. Ce rêve que tu portes en toi, il ne viendra pas en frappant à ta porte. Il te faudra te lever, aller le chercher, l’attraper, et l’embrasser.

Tu as un rêve, une vision de ta vie idéale, et chaque petite action, chaque choix que tu fais, chaque décision audacieuse que tu prends, te rapproche de ce rêve. Ce n’est pas une question de chance ou de destin. C’est une question de constance. Tu écris l’histoire, et toi seul peux décider si ce rêve devient réalité.

Imagine-toi, dans un an, dans cinq ans. Que vois-tu ? Est-ce que tu te vois là où tu veux être, en train de savourer le résultat de ton travail acharné et de tes choix audacieux ? Ou est-ce que tu te vois encore en train d’attendre que quelque chose, ou quelqu’un, te fasse avancer ? La différence entre ces deux scénarios ? Toi. Les décisions que tu prends maintenant.

Le résultat final, c’est toi qui le dessines

Et là, on en revient à la question essentielle : qu’est-ce que tu veux réellement ? C’est une question qui fait mal parfois. Parce qu’il faut être honnête avec soi-même. Et tu sais quoi ? Le seul moment où tu réalises vraiment ce que tu veux, c’est quand tu es prêt à tout changer. Quand tu acceptes d’abandonner des habitudes, de sortir de ta zone de confort, de te remettre en question et de laisser ta peur derrière toi.

Parce qu’au fond, le destin n’a pas de plan. Il ne t’attend pas. Il ne s’intéresse pas à tes excuses. Le destin n’est qu’un prétexte. Ce qui compte vraiment, c’est ce que tu choisis de faire, aujourd’hui, maintenant. La plume, elle est dans ta main. Et c’est à toi de décider comment tu vas écrire la suite.

Le Bénéfice immédiat ? Un sentiment de contrôle

Tu sais ce qui est génial quand tu réalises que tu tiens cette fameuse plume ? Le contrôle. Le pouvoir. Le fait que tu n’es plus un spectateur passif dans ta propre vie. Tu n’attends plus que les choses arrivent, tu les provoques. Et tout de suite, tu commences à ressentir ce sentiment. Ce sentiment d’être maître de ton destin. D’être celui qui décide.

Ce que je te propose, c’est de poser cette question, et d’y répondre de manière honnête : Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour que demain soit un peu plus proche du rêve que j’ai en tête ?

Je te le dis, la seule chose qui t’empêche d’y arriver, c’est toi-même. Alors cesse d’attendre le « bon moment ». Ce moment, il est maintenant. Il n’y a pas de destin déjà écrit. Il y a seulement des décisions à prendre, et des actions à entreprendre.

Le rêve n’est pas un mirage. Le rêve est dans ta main.

Tu écris l’histoire. Alors fais en sorte qu’elle soit épique.

Avec toute ma gratitude, Guido SAVERIO