L’État t’apprend à survivre, pas à vivre

Si tu penses que l’école, l’université ou même ton job te prépare à vivre une vie extraordinaire, je vais t’éclater le mythe tout de suite. L’État, la société, les institutions : elles ne sont là que pour t’apprendre à survivre. Elles ne veulent pas que tu sois heureux, elles veulent que tu sois obéissant. Elles veulent que tu te lèves tous les matins, que tu bosses, que tu consommes, et surtout… que tu restes dans le rang. Mais attends, tu as vu les résultats ? Tu crois vraiment que c’est ça vivre ? Non. Et c’est exactement pour ça que tu n’es pas encore là où tu veux être. Parce que la société t’a appris à rester dans le confort de la survie, et pas à t’épanouir.

Si tu veux vivre, vraiment vivre, il est grand temps de sortir de ce système qui te pousse à la médiocrité. C’est dur à entendre, mais c’est la vérité. Tu veux quoi, un job stable, une maison, des vacances tous les ans, des enfants qui réussissent, une retraite tranquille ? Mais pendant ce temps-là, tu oublies un truc primordial : la vie, la vraie, c’est pas ça. La vie, c’est prendre des risques. C’est essayer, échouer, recommencer, grandir. C’est vibrer, c’est aimer, c’est vivre sans se demander si ce qu’on fait a du sens, mais savoir au fond de soi que ça a tout son sens.

Alors laisse-moi te donner quelques clés pour arrêter de simplement survivre et commencer à vivre pleinement. Parce qu’au fond, si tu as cliqué sur cet article, c’est que tu es prêt à entendre ça. Et crois-moi, tu ne regretteras pas.

1. Reprends le contrôle de ton temps

Le temps, c’est tout ce que tu as. Il ne reviendra jamais. Quand tu passes des heures à faire des trucs qui n’ont aucun sens, tu t’éloignes de ta vie idéale. L’État ne t’a pas appris à gérer ton temps. Il t’a appris à en gaspiller. Alors commence à vivre comme si chaque minute comptait. Utilise-toi à bon escient. Arrête de regarder des vidéos inutiles ou de traîner dans des conversations qui ne t’apportent rien. Prends des décisions conscientes sur ton temps. Le vrai luxe, c’est le temps. Donc, qu’est-ce que tu vas faire avec le tien ?

Un exemple ? Si tu as une passion qui traîne depuis des années dans un coin de ta tête, arrête de dire que tu n’as pas le temps. Fais-en une priorité. Dis-toi : Je vais m’investir là-dedans, je vais bosser dessus tous les jours. Peu importe si ce n’est pas parfait. L’essentiel, c’est d’avancer.

2. L’échec n’est pas ton ennemi, il est ton guide

L’État, et la société en général, t’a enseigné à avoir peur de l’échec. À le fuir comme la peste. On t’a dit que tu devais réussir à tout prix, que l’échec était une honte. Résultat ? Tu restes dans ta zone de confort, tu ne prends pas de risques, et tu te contentes de ce qui est facile.

Mais la vérité, c’est que l’échec, c’est le moteur de la réussite. Il te montre où tu dois t’améliorer. Il te permet de grandir. C’est comme si tu étais un athlète qui cherche à battre son record personnel. Si tu n’échoues jamais, tu ne sais même pas où tu dois travailler. L’échec, ce n’est pas une fin, c’est un passage. Donc la prochaine fois que tu fais face à un échec, n’en fais pas un drame. Transforme-le en apprentissage et continue. C’est ce qui fera de toi une personne qui vit vraiment.

3. L’argent n’est qu’un outil, pas un but

Combien de fois t’es-tu retrouvé à courir après l’argent, pensant qu’il allait résoudre tous tes problèmes ? Combien de fois t’es-tu dit « Quand j’aurai plus d’argent, ma vie sera parfaite » ? L’État t’a appris à croire que l’argent est la solution à tout. Mais la vérité, c’est que l’argent, c’est juste un outil. Ce qui est vraiment précieux, c’est ce que tu en fais.

Si tu veux réellement vivre, commence à penser différemment. L’argent est là pour te donner plus de liberté, plus de temps, et pour te permettre de t’épanouir dans ce que tu aimes. Ce n’est pas une fin en soi. Alors arrête de courir après des chiffres sur ton compte en banque et commence à courir après la liberté qu’il peut t’apporter.

4. Fais de ta passion ta priorité

L’État t’a appris à choisir la sécurité avant tout. Mais la vie ne fonctionne pas comme ça. La vie, c’est risquer, c’est se lancer dans l’inconnu avec la foi qu’on a un but plus grand. Prends l’exemple de toutes ces personnes qui ont décidé de suivre leur passion. Tu connais sûrement des gens autour de toi qui vivent de leur art, de leur musique, ou même de leur blog. Ce sont des gens qui ont pris des risques, qui ont fait passer leur passion avant leur peur. Et aujourd’hui, ces gens-là vivent la vie qu’ils rêvaient. Pas une vie de routine, de métro-boulot-dodo, mais une vie où chaque jour est une aventure. Tu veux en faire partie ? Commence maintenant. Ce n’est pas plus compliqué que ça.

5. Vivre avec un but, pas avec un plan

Enfin, je vais te dire un dernier truc, peut-être le plus important : oublie les plans à la noix. L’État t’a appris à planifier ta vie jusqu’à la retraite. Mais franchement, qui a envie de vivre toute sa vie selon un plan rigide ? Ça, c’est une recette pour mourir avant d’être mort.

La vraie vie, elle se vit avec un but, pas un plan. Le plan est là pour te guider, mais ce qui te propulse, c’est la passion, l’envie, l’enthousiasme de poursuivre un but plus grand que toi. Laisse le plan dans ta poche, et vise un objectif qui te fait vibrer.


Tu veux passer ta vie à survivre ? Ou tu veux vraiment la vivre ? Si ta réponse est la deuxième option, alors commence aujourd’hui. L’État ne te le dira jamais, mais je vais te le dire : tu es maître de ta vie. Alors fais quelque chose avec. Prends des risques, prends des décisions qui te feront frémir, et surtout, arrête de survivre pour commencer à vivre.

Guido SAVERIO