La douleur est temporaire, l’abandon est éternel. À toi de choisir.

Imagine un instant. Tu es en train de courir. Ton souffle est court, tes jambes brûlent, et ton cerveau hurle : « Arrête-toi ! Ça fait trop mal ! » C’est là que tout se joue. Deux choix s’offrent à toi : continuer malgré la douleur ou abandonner et vivre avec ce choix pour toujours. Et c’est la même chose pour tout dans la vie. La douleur ? Elle passe. Mais l’abandon, lui, s’incruste. Il te suit partout, comme une ombre collante qui te rappelle sans cesse : « Tu aurais pu, mais tu as lâché. »

Le plaisir vient après la douleur

Personne ne parle de ce moment magique où tu as mal, où tu luttes, où tu veux tout arrêter… juste avant que ça bascule. Juste avant que tu passes ce foutu mur et que la victoire se profile. C’est exactement ce qui se passe dans tous les domaines : le sport, l’apprentissage, les relations, les projets de vie. La douleur est un filtre. Ceux qui persévèrent goûtent au triomphe, les autres restent bloqués au regret.

Exemple concret ? Un entrepreneur qui galère, qui doute, qui encaisse refus sur refus… et qui, un matin, voit son projet exploser parce qu’il n’a pas abandonné. Ou encore ce gars qui galérait à parler anglais et qui, après des mois de frustration, se met à comprendre et à répondre naturellement. Tout se joue dans ce moment où l’envie de lâcher est à son maximum. Parce que juste après… c’est là que la magie opère.

Ceux qui gagnent ne sont pas plus forts, juste plus têtus

On admire les gens qui réussissent. On se dit qu’ils ont quelque chose de spécial. Une sorte de don. Foutaises. La vraie différence, c’est qu’ils ne lâchent pas quand c’est dur. Ils encaissent, ils tombent, ils se relèvent. Encore et encore.

Prends n’importe quelle personne que tu respectes. Un athlète, un artiste, un entrepreneur. Ce qu’ils ont en commun, c’est cette capacité à tenir alors que tout en eux leur criait d’arrêter. Et toi, honnêtement, combien de fois as-tu abandonné avant d’atteindre ce moment où tout aurait pu changer ?

Petit exercice : Pense à un moment où tu as renoncé. Maintenant, imagine ce qui aurait pu se passer si tu avais tenu encore un peu plus longtemps. Ressens ce petit pincement de regret ? Voilà pourquoi la persévérance est une arme. Parce que personne ne veut vivre avec ce « Et si… » qui hante l’esprit.

La règle d’or : Quand ça devient dur, continue encore un peu

C’est une règle simple. Quand ça fait mal, quand c’est difficile, au lieu de stopper net, donne-toi un dernier round. Un dernier kilomètre. Une dernière tentative. Fais ça systématiquement, et tu seras choqué du nombre de fois où la victoire était juste après cette douleur temporaire.

Un dernier conseil : Ne prends pas de décision sous l’effet de la douleur. Parce que la douleur ment. Elle te fait croire que c’est insurmontable, alors qu’en réalité, ce n’est qu’un passage. Respire, serre les dents et avance. Parce qu’au final, tout passe. Sauf l’abandon. Lui, il reste.

Tu veux vraiment vivre avec ça sur la conscience ?

Guido SAVERIO